NATHAN BELARBRE

No man's land

Mars - Mai 2017

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Après l’analyse et l’étude des termes «en friche» nous devions créer un projet visant à témoigner d’une démarche de création liée à ces termes. J’ai souhaité comprendre la friche comme un espace public n’appartenant à personne mais que tout le monde pourrait investir, ici je propose un atelier pédagogique avec un bac à sable et des éléments (maisons, routes, décors) pour que les gens puissent créer leur propre ville, en jouant sur la topographie, les liens entre les habitations etc.

 

Par ce geste, je souhaitait démontrer que les choses ne se construisent pas seul, mais à plusieurs, laissant à chacun une participation égale aux autres. Après avoir immortalisé la ville créé par des prises photographiques, le bac à sable reprends sa forme originale pour pouvoir de nouveau être proposé à d’autres personnes, l’idée étant de pouvoir garder une trace d’une ville éphémère. Le dispositif pourrai être proposé à des collectivités souhaitant créer des aménagements urbains ou paysagers afin de rendre l’expérience ludique et sociale.

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Following the analysis of "wastelands" we had to create a project to witness a creative practice connected to these words. I wanted to understand the wasteland as a public space that belongs to nobody but that everybody can invest, here I suggest a pedagogic workshop on a sandbox and differents elements (houses, roadways, decorations) to let people build their own city, by playing with topography, links between houses etc.

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This gesture allowed me to attest that things didn't arise all alone but with others, letting to everyone an equal part of participation. After imortalized the city with some photographs, the sandbox turns back to its initial form to benefit to other people, the idea was to keep a track of an ephemeral city.

This facility could be proposed to communities who want to convert or reorganize a neighbor, a city transform the experience into something fun and social.

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